Résumé : |
Depuis six mois, nous sommes confinés, d'abord chez nous, pour qui a un logement, puis dans notre bulle et sous un masque. Si la parole publique existe, elle semble limitée dans l'espace et dans le nombre de personnes prenant la parole publiquement. Cependant, la rue n'a jamais été silencieuse. Un peu partout, la parole, les mots d'anonymes, tels des dazibaos, ont marqué l'espace. Adil, Georges Floyd, Léopold II, Covid, ... les sujets n'ont pas manqué. On en retrouve ici une trace, souvent éphémère. |