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En 1972, la revue néerlandaise Museumjournaalpubliait une contribution de Flor Bex, directeur du Centre Culturel International (ICC) récemment créé à Anvers, et de Hedwig Verschaeren, conservatrice du Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers, faisant état de la situation de l’art contemporain en Belgique. Si l’attention portée à l’œuvre de jeunes artistes tels Jacques Charlier, Leo Copers, Jef Geys, Guy Mees et Philippe Van Snick ainsi qu’à celle de Marcel Broodthaers et Panamarenko, alors déjà reconnus en Europe, permit de dresser un panorama des évolutions artistiques qui, depuis lors, se sont profilées comme le canon de l’avant-garde belge de l’après-guerre, cet article eut également pour qualité de jeter un éclairage sur le travail de certains artistes passés à travers les mailles de l’histoire. L’un d’eux est MAURICE ROQUET (Liège, °1938 ; vit à Bruxelles). Un artiste qui, au moment de cette publication dans le Museumjournaal, relevait explicitement de la tendance internationale de l’art conceptuel. |