Résumé : |
Il est des œuvres dont la lecture ne vous laisse pas indemne, dans le sillage desquelles vous vous sentez petit, tant le souffle qui les habite porte en lui les cris d'une multitude d'âmes humiliées et la fureur de celles et ceux que l'abjection vient continuellement frapper, à la manière dont passent les jours " et avec les années, les siècles", comme disait Borgès. |