Résumé : |
Parler de sa séropositivité est toujours une prise de risque. Stigmatisation et désocialisation menacent particulièrement les personnes migrantes, homosexuelles ou âgées, ce dont témoigne la forte prévalence des troubles psychiques et/ou de la précarité dans ces groupes.
De tous ces éléments découlent de fortes prévalences des troubles psychiques et une éventuelle précarité sociale. La prise en charge des PvVIH doit être globale, elle nécessite de prendre en compte tous ces aspects, médicaux, psychiques, sociaux, et d’y associer les patients. |