Résumé : |
Les progrès en allergologie visent à préciser les diagnostics et à limiter le recours aux évictions alimentaires considérées comme délétères pour la qualité de vie du patient par le milieu médical.
Or, au sein de la population générale, on assiste a contrario à un certain engouement pour les pratiques d’évictions alimentaires « autoprescrites ». C’est notamment le cas de parents qui décident de mettre en place certaines évictions pour leurs enfants, parfois de manière intransigeante, comme s’ils souffraient d’une véritable allergie. Comment comprendre ces parents, comment les aborder ? S’agit-il d’une simple mode ou d’une tendance sociétale plus profonde ?
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