Résumé : |
A partir de quand et de quoi dit-on d'un patient ou d'un proche qu'il est dans le déni ?
Quand nous disons cela, quand nous écrivons cela, nous précisons bien là “le dire” à propos de quelqu'un, d'un patient, d'un proche, voire d'un soignant. Le déni pourrait être distingué en soi. Etre
entendu et déplié comme concept, dans son origine, ses acceptions, ses développements théoriques et ses études.
Néanmoins, dans le vécu, dans la vie courante, dans la rencontre avec des patients en soins palliatifs, à quel moment dit-on et dès lors à quel moment entend-on dire le mot “déni” ? Et qu'est-ce que
cela emporterait comme enjeux ? |