Résumé : |
Une prise en charge palliative de douleurs thoraciques réfractaires d’origine cancéreuse dont la pathogénie semble connue, peut amener à méconnaître d’autres étiologies intercurrentes, notamment cardiogénique. Peu d’étude ont été trouvée sur le sujet. La recherche étiologique peut-elle relever de l’obstination diagnostique dans la mesure où le symptôme réfractaire ne disparait pas dans les suites ? Et la prise en charge, de l’acharnement thérapeutique du fait d’une dégradation clinique lié au traitement ? |