Résumé : |
En 1958, Bruxelles accueillait la première Exposition universelle de l'après-guerre. Par sa modernité, ses répercussions durables et les perspectives qui s'ouvraient pour une Europe plongée dans l'optimisme des Trente Glorieuses, tout semblait alors possible. C'est dans ce contexte euphorique d'ouverture sur le monde, notamment artistique, qu'était inaugurée à Bruxelles la Galerie Françoise Mayer |