Résumé : |
La police s’est à de nombreuses reprises retrouvée pointée du doigt pour son incapacité à prendre en charge les victimes d’agressions racistes, homophobes et sexuelles. Emmanuelle Alves Da Silva, chercheuse à Unia, explique le décalage qui existe entre, d’une part, ce que les victimes attendent de la police et, d’autre part, la réalité complexe qu’est le travail policier. Outre l’état des lieux qui est effectué dans cet article, des pistes y sont proposées pour replacer la mission policière d’assistance et de protection au cœur du débat. |