Résumé : |
Le toucher est, à mon sens, le vecteur du « prendre soin » le plus significatif lorsque nous traversons des épreuves de vie ou des périodes de plus grande fragilité (deuil, séparation, maladie, surmenage, grand âge, fin de vie, …). Confrontés à la réalité de notre vulnérabilité, quand nous recevons de la sollicitude par une main posée sur un bras ou une épaule, par exemple, nous sommes touchés bien plus en profondeur que ne peuvent le faire les mots. |