Résumé : |
L’obésité chez les enfants, en tant que maladie chronique, a des répercussions visibles sur le corps des patients mais aussi sur leur qualité de vie globale ainsi que sur leur famille.
Le contexte de vie, les rapports à l’alimentation et au corps sont à explorer car, comme tout symptôme en médecine, la prise de poids ouvre la porte sur la vie psychique du patient.
Une approche bienveillante, respectant l’intimité des familles mais aussi la temporalité psychique des enfants, est fondamentale et permet l’émergence d’une demande, qui n’est
pas nécessairement la perte de poids mais parfois davantage l’acceptation du corps tel qu’il est. |