Résumé : |
A travers les notions qu'elle a mobilisées, comme celle de l'auto-odi, la sociolinguistique, en tant que discipline qui analyse depuis les années 1970 les rapports de domination, a trop souvent enfermé les sujets dans la honte de leur langue. Au-delà de cette réalité qui dit les insécurités et assimilations linguistiques, il est désormais important de montrer aussi les capacités d'agir, quand "s'éhonter" permet de se libérer |