Résumé : |
Entre phénomène de mode et grand rattrapage bien mérité, il aura fallu attendre le 21ème siècle pour que la peinture africaine gagne ses lettres de noblesse. Surfant sur cette vague d'enthousiasme, les expositions se multiplient. Accrochage de première importance, la sélection composée par Koyo Kouoh et Tandazani Dhlakama raéconte, sous le prisme de la joie, un siècle de peinture figurative noire |