Résumé : |
L'article critique la marginalisation des activités dans les soins psychiatriques, soulignant que de nombreux professionnels, influencés par une approche biologisante, négligent leurs dimensions thérapeutiques. L'auteur plaide pour une approche intégrative des troubles psychiques, qui inclut les activités comme moyen de soins, en se basant sur l'histoire de la psychothérapie institutionnelle. Il met en avant le jeu d'échecs comme exemple c'activité bénéfique, capable de renforcer la mémoire, la concentration et les relations sociales. |