Détail de l'auteur
Auteur Vincent de Parades |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externes
Fistules anales, épargner le sphincter / Vincent de Parades in La revue du praticien, Vol. 73, n°3 (mars 2023)
[article]
Titre : Fistules anales, épargner le sphincter : des techniques chirurgicales en pleine évolution Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent de Parades ; Mohamed Amine Haouari ; Nadia Fathallah ; Lucas Spindler ; Amélie Barré ; Elise Pommaret ; Paul Benfredj Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 274-278 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Fistule anale/chirurgie Résumé : La fistulotomie est le traitement le plus souvent utilisé dans la fistule anale. Elle est très efficace, avec un taux de guérison supérieur à 95 %, mais expose à un risque
d’incontinence. Cela a conduit au développement de diverses techniques d’épargne sphinctérienne. L’injection de colle ou de pâte biologique ainsi que la mise en place d’un plug ont des résultats finalement décevants et un coût élevé. Le lambeau rectal d’avancement est encore pratiqué en raison de son taux de guérison aux alentours de 75 %, mais il peut se solder par quelques troubles séquellaires de la continence. La ligature intersphinctérienne du trajet fistuleux et le laser sont largement pratiqués en France, avec des taux de guérison
oscillant entre 60 et 70 %. Le traitement vidéo-assisté du trajet fistuleux ainsi que les injections périfistuleuses de tissu adipeux, de fraction vasculaire stromale, de plasma enrichi en plaquettes et/ou de cellules souches mésenchymateuses sont des techniques émergentes dont on espère de meilleurs résultats encore.Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=128301
in La revue du praticien > Vol. 73, n°3 (mars 2023) . - p. 274-278[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001497 P23003PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible Prise en charge des lésions secondaires de la maladie de Crohn anopérinéale / Nadia Fathallah in La revue du praticien, Vol. 73, n°3 (mars 2023)
[article]
Titre : Prise en charge des lésions secondaires de la maladie de Crohn anopérinéale : la thérapie cellulaire change la donne Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Fathallah ; Amine Alam ; Liza Kassouri ; Amélie Barré ; Lucas Spindler ; Vincent de Parades Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 289-295 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Fistule anale/chirurgie
[MeSH] Maladies:Maladies de l'appareil digestif:Maladie de Crohn
[MeSH] Plaies et blessuresRésumé : L’atteinte anopérinéale de la maladie de Crohn est fréquente ; elle affecte environ un tiers des patients durant leur maladie. Elle constitue un facteur péjoratif responsable d’une majoration du risque de colostomie définitive et de proctectomie, et est associée à une altération majeure de la qualité de vie. Les lésions anales secondaires de la maladie de Crohn sont des fistules et des abcès.
Elles sont difficiles à traiter et souvent récidivantes. Une prise en charge multidisciplinaire médico-chirurgicale en plusieurs étapes s’impose. La séquence classique se fonde sur une phase de drainage des fistules et des abcès, une phase de traitement médical fondé en priorité sur les anti-TNF alpha et enfin une phase de fermeture chirurgicale du (ou des) trajet(s) fistuleux. Les techniques de fermeture classiques comme la colle biologique, le plug, le lambeau d’avancement et la ligature intersphinctérienne du trajet fistuleux ont une efficacité limitée, ne sont pas toujours réalisables, nécessitent des compétences techniques et ont, pour certaines, un impact sur la continence anale. Ces dernières années, l’arrivée
de la thérapie cellulaire suscite un véritable enthousiasme. Cet engouement n’a pas épargné la proctologie, puisque les cellules souches mésenchymateuses (CSM) allogéniques d’origine adipocytaires ont obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), sont commercialisées et remboursées en France depuis 2020 dans le traitement des fistules anales complexes de la maladie de Crohn en échec d’au moins une biothérapie. Cette thérapie offre une alternative supplémentaire à des patients souvent en situation
d’impasse thérapeutique. Les résultats préliminaires en vraie vie sont satisfaisants, avec un bon profil d’innocuité. Toutefois, il faudra confirmer ces résultats à plus long terme et travailler à identifier le profil des patients qui pourraient bénéficier au mieux de cette thérapie onéreuse.Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=128305
in La revue du praticien > Vol. 73, n°3 (mars 2023) . - p. 289-295[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001497 P23003PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible Sinus pilonidal infecté: la révolution de la chirurgie mini-invasive / Lucas Spindler in La revue du praticien, Vol. 73, n°3 (mars 2023)
[article]
Titre : Sinus pilonidal infecté: la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Spindler ; Nadia Fathallah ; Mélanie Draulette ; Vincent de Parades Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 283-288 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Sinus pilonidal/chirurgie Résumé : Le sinus pilonidal infecté est une pathologie fréquente qui affecterait 0,7 % de la population. Son traitement est chirurgical. En France, la technique de référence est l’exérèse, avec une plaie laissée ouverte, puis une cicatrisation dirigée. Elle a l’avantage de réduire le risque de récidive, au prix cependant de soins infirmiers quotidiens, d’une
durée de cicatrisation longue impliquant un arrêt d’activité prolongé. Les techniques chirurgicales de fermeture ou de plastie visant à réduire la durée des soins sont moins
contraignantes pour les patients, mais elles exposent à davantage de récidives que la technique ouverte. L’objectif des techniques mini-invasives est de simplifier les suites
opératoires tout en limitant le risque de récidive. Les techniques mini-invasives anciennes comme la phénolisation ou le «?pit picking?» exposent à un taux de récidive élevé malgré des suites simples. Aujourd’hui, de nouvelles techniques se développent, faisant appel, entre autres, à l’endoscopie ou encore au laser également utilisés pour le traitement des fistules anales. Les premiers résultats sont prometteurs, avec un taux d’échec globalement inférieur à 10 % à un an. Les complications sont rares, le plus souvent mineures, et les suites postopératoires sont simples sans nécessité de soins infirmiers. Cependant, ces résultats intéressants nécessitent d’être confirmés par des études de meilleure qualité avec un suivi prolongé.Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=128303
in La revue du praticien > Vol. 73, n°3 (mars 2023) . - p. 283-288[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001497 P23003PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible