[article] Titre : |
Suivi après transplantation d’organes : après la première année, des risques liés aux immunosuppresseurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lionel Rostaing |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 976 |
Note générale : |
Cet article fait partie du dossier : "Transplantation d'organes" |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
[RAMEAU] Greffés [MeSH] Immunosuppresseurs [MeSH] Rejet du greffon [MeSH] Transplantation d'organe
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Résumé : |
Dans le suivi d’un patient greffé d’organe, la place du médecin généraliste est essentielle, tout au long du parcours et particulièrement au-delà des douze premiers mois, en lien avec les spécialistes de la transplantation. Durant la première année post-greffe peuvent survenir des complications très spécifiques liées à l’organe greffé (rejet aigu) ou liées au traitement immunosuppresseur, comme des problèmes infectieux potentiellement sérieux. Tous les centres de greffe disposent de professionnels paramédicaux formés à recevoir quotidiennement les appels (via une hotline ou une application) des greffés récents et à les diriger au plus vite vers le médecin spécialiste si nécessaire. Au-delà de la première année, d’autres situations se présentent, dont beaucoup doivent être gérées en tandem avec le médecin généraliste: surveillance du taux résiduel des traitements antirejet, augmentation de la créatininémie, de la glycémie ou du LDL-cholestérol. Les immunosuppresseurs accroissent le risque des cancers viro-induits, notamment cutanés et du col utérin ; leur dépistage est donc nécessaire, avec l’aide du médecin généraliste. Celui-ci doit contacter le centre de greffe en cas de problème potentiellement sérieux. |
Cycle : |
Généralités |
Permalink : |
http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=131103 |
in La revue du praticien > Vol. 73, n°9 (novembre 2023) . - p. 976
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