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Apports de la biologie moléculaire dans la prise en charge du cancer colorectal / Adrien Grancher in La revue du praticien, Vol. 74, n°4 (avril 2024)
[article]
Titre : Apports de la biologie moléculaire dans la prise en charge du cancer colorectal Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrien Grancher ; Steven Cuissy ; David Sefrioui ; Frédéric Di Fiore Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 355-358 Langues : Français (fre) Catégories : [RAMEAU] Sciences naturelles:Sciences de la vie:Biologie:Biologie moléculaire
[MeSH] Maladies:Tumeurs:Tumeurs colorectales
[MeSH] Techniques analytiques, diagnostiques, thérapeutiques et équipements:ThérapeutiqueRésumé : Le cancer colorectal (CCR) est un problème de santé publique majeur qui touche près de 43 000 personnes par an et cause 17 000 décès. Les progrès de la biologie moléculaire ont permis d’identifier certains des mécanismes impliqués dans la carcinogenèse colorectale et la prolifération tumorale. Certaines altérations moléculaires sont désormais recherchées en pratique courante pour adapter le suivi et la décision thérapeutique dans les CCR localisés et métastatiques. Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=133512
in La revue du praticien > Vol. 74, n°4 (avril 2024) . - p. 355-358[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001661 P24004PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible Cancer colorectal et parcours de soins / Régine Clément in La revue de l'infirmière, n°181 (Mai 2012)
[article]
Titre : Cancer colorectal et parcours de soins Type de document : texte imprimé Auteurs : Régine Clément, Auteur ; Sylvie Warnet, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 20-32 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Colostomie
[MeSH] Maladies:Tumeurs:Tumeurs colorectales
[MeSH] Prise en charge personnalisée du patientCycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86530
in La revue de l'infirmière > n°181 (Mai 2012) . - p. 20-32[article]Cancers du rectum opérés ? visée curative : surveillance, prévention secondaire, complications tardives / Côme Lepage in La revue du praticien, Vol. 72, n°1 (janvier 2022)
[article]
Titre : Cancers du rectum opérés ? visée curative : surveillance, prévention secondaire, complications tardives : le Thésaurus national de cancérologie digestive, guide de référence des bonnes pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Côme Lepage Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 55-59 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Cancer du rectum
[MeSH] Maladies:Tumeurs:Tumeurs colorectales
[MeSH] Radiothérapie
[MeSH] Techniques analytiques, diagnostiques, thérapeutiques et équipements:DiagnosticMots-clés : surveillance postopératoire Résumé : L'incidence du cancer colorectal a augmenté de plus de 50% au cours des trente dernières années. Sur la même période, le nombre de décès est demeuré stable, ce qui reflète des progrès thérapeutiques majeurs. Le taux de survie nette à cinq ans des patients opérés à visée curative d'un cancer du rectum varie de 96% pour les stades I, à 71% pour les stades III. Parmi eux près de 12% des stades I, 30% des stades II et 54% des stades III développent un cancer métachrone ou une récidive au cours des cinq ans qui suivent l'intervention. Ce risque élevé de récidive soulève la question de la surveillance postopératoire, afin de détecter les récidives précoces et les cancers métachrones à un stade curable. L'incidence annuelle des adénomes est faible et le risque cumulé de récidive endoluminale ou de cancer métachrone est très faible.
Par conséquent, la surveillance endoscopique intensive est inutile. La surveillance postopératoire des récidives à distance est mal codifiée. Cependant, en dépit de leurs limites, de récents essais et méta-analyses suggèrent que la combinaison d'une surveillance clinique avec l'imagerie hépatique et pulmonaire augmente la survie. L'ACE n'a plus aucune utilité dans la surveillance après résection à visée curative. Dans le futur, les enjeux seront d'établir des scores prédictifs afin d'ajuster la surveillance en fonction des caractéristiques moléculaires de la tumeur réséquée. Enfin, le dépistage des séquelles et leur prise en charge sont des éléments importants du suivi après résection à visée curative des cancers du rectum, surtout chez les patients ayant reçu une radiothérapie néo-adjuvanteCycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=122708
in La revue du praticien > Vol. 72, n°1 (janvier 2022) . - p. 55-59[article]Facteurs de risque et de protection du cancer colorectal / Bernard Denis in La revue du praticien, Vol. 72, n°8 (octobre 2022)
[article]
Titre : Facteurs de risque et de protection du cancer colorectal Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Denis Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 889 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Facteurs de risque
[MeSH] Maladies:Tumeurs:Tumeurs colorectalesRésumé : Comportement et environnement jouent un rôle plus important que l’hérédité dans la carcinogenèse colorectale. La part des cancers colorectaux (CCR) attribuable à une exposition professionnelle, à la pollution ou à un statut socio-économique défavorable est faible.
Les niveaux de risque sur lesquels reposent les recommandations françaises de dépistage du CCR sont obsolètes et doivent être actualisés. Un individu ayant un ou deux adénomes non avancés réséqués lors d’une coloscopie est à risque faible de CCR. Seuls les antécédents familiaux au 1er degré de CCR chez un parent avant 50 ans ou chez deux parents quel que soit l’âge confèrent un surrisque significatif. Certaines maladies ou situations sources d’un sur-risque de CCR n’étaient pas prises en compte précédemment : mucoviscidose, radiothérapie et survivant de cancer pédiatrique. De nouveaux syndromes de prédisposition héréditaire associés à un risque très élevé de CCR ont été décrits en sus du syndrome de Lynch et de la polypose adénomateuse familiale : polypose associée à MUTYH, syndromes de déficience constitutionnelle du système MMR, Lynch-like, PPAP et X. La moitié des CCR sont liés à des facteurs de
risque modifiables associés au mode de vie occidental tels que sédentarité, malbouffe et obésité.
Les recommandations hygiéno-diététiques destinées à la prévention primaire du CCR n’ont rien de spécifique : activité physique, limitation des viandes rouges et charcuteries, augmentation des fibres alimentaires et produits laitiers, limitation de l’alcool et éviction du tabac. Enfin, il est prématuré d’utiliser l’aspirine en prévention primaire du CCR en dehors du syndrome de Lynch et d’un risque cardiovasculaire significatif associé.Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=126205
in La revue du praticien > Vol. 72, n°8 (octobre 2022) . - p. 889[article]En pratique courante, quel est le meilleur test pour rechercher du sang dans les selles ? / Bernard Denis in La revue du praticien, Vol. 71, n°5 (mai 2021)
[article]
Titre : En pratique courante, quel est le meilleur test pour rechercher du sang dans les selles ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Denis ; Callum George Fraser Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 543-550 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Maladies:Tumeurs:Tumeurs colorectales
[MeSH] Sang occulte
[MeSH] Tests immunologiquesRésumé : La recherche de sang dans les selles, malgré son caractère quelque peu désuet, est, à juste titre, encore très prescrite en France, insuffisamment dans le programme national de dépistage organisé du cancer colorectal et en pratique courante pour guider une conduite diagnostique en cas de symptômes digestifs ou généraux. Les tests au gaïac (Hemoccult), obsolètes, ont été remplacés par des tests immunochimiques, quantitatifs (OC-Sensor) réservés au programme de dépistage, et qualitatifs réalisés par tous les laboratoires de biologie médicale. Pourtant les tests qualitatifs sont obsolètes et devraient être abandonnés : leur lecture est subjective, leur taux de positivité très variable, proche de 50 %, et leur sensibilité diagnostique pour le cancer colorectal non évaluée. Au contraire, les tests quantitatifs sont fiables et leurs performances parfaitement évaluées. Plusieurs pays voisins utilisent ces tests en médecine générale pour évaluer le risque de cancer colorectal chez les patients symptomatiques et poser l’indication d’une coloscopie. Dans ce contexte, les seuils décisionnels sont très différents de ceux du dépistage organisé : un taux d’hémoglobine fécale inférieur à 4-10 µg/g de selles est associé à un risque infime de cancer, un taux supérieur à 4-10 µg/g doit être exploré par coloscopie, et un taux supérieur à 150 µg/g relève d’une coloscopie urgente Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=119498
in La revue du praticien > Vol. 71, n°5 (mai 2021) . - p. 543-550[article]