Évaluation des pratiques de soins palliatifs dans onze établissements pour personnes âgées dépendantes de Bourgogne-Franche-Comté / Marc Degois in La revue de gériatrie, T. 45, n°3 (mars 2020)

Public [article]  inLa revue de gériatrie > T. 45, n°3 (mars 2020) . - p. 135-144 Titre : Évaluation des pratiques de soins palliatifs dans onze établissements pour personnes âgées dépendantes de Bourgogne-Franche-Comté Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Degois, Auteur ; Cécile Besset, Auteur ; Esmaël Ngamba, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 135-144 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Évaluation des pratiques médicales par des pairs [MeSH] Personne âgée fragile [MeSH] Soins aux patients:Soins palliatifs Résumé : Introduction : En France, plus de 618 000 résidents vivent en Établissement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et plus de 125 000 y décèdent chaque année. Les difficultés éthiques y sont accrues en raison de la polypathologie et des troubles cognitifs. Les prises en charge des résidents en fin de vie ont été l’objet de recommandations de bonnes pratiques. Pourtant, les modalités de mise en œuvre des soins palliatifs en EHPAD restent peu étudiées. Objectifs : L’objectif était d’évaluer les pratiques de soins palliatifs en EHPAD. Méthodes : Quatre Équipes mobiles de soins palliatifs (EMSP) et le Réseau qualité des établissements de santé de Bourgogne-Franche-Comté (REQUA) ont proposé un audit rétrospectif de dossiers dans le cadre d’une Évaluation des pratiques professionnelles (EPP) à 11 EHPAD volontaires de leur région. Résultats : Dans ces établissements (1 596 places au total), 475 décès étaient survenus l’année précédant le recueil. Un échantillon de 295 dossiers était audité. Dans 91 % des cas les décès étaient survenus au sein des établissements. Parmi les 221 résidents décédés de façon non soudaine, lors de la dernière semaine de vie, 63 % avaient eu au moins une évaluation de la douleur, 47 % une contention (y compris barrières) et 36 % une hydratation artificielle. Dix pourcents des dossiers comportaient la trace d’une information des résidents à propos de leur état de santé. Conclusion : Ce travail identifie des axes d’amélioration des pratiques portant sur la prise en charge des douleurs, l’implication des résidents dans leur propre projet de fin de vie, et la nécessité d’une valorisation institutionnelle de l’interdisciplinarité. Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=114296 [article]

Intérêt d’une sensibilisation au dépistage et à la prise en charge de la douleur au sein des équipes médicales et paramédicales dans les unités de gériatrie aiguë / Mathilde Dorion in La revue de gériatrie, Vol. 47, n°3-4 (mars-avril 2022)

Public [article]  inLa revue de gériatrie > Vol. 47, n°3-4 (mars-avril 2022) . - p. 153-159 Titre : Intérêt d’une sensibilisation au dépistage et à la prise en charge de la douleur au sein des équipes médicales et paramédicales dans les unités de gériatrie aiguë Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Dorion, Auteur ; Orianne Delattre, Auteur ; Frédéric Bloch, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 153-159 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Analgésiques [MeSH] Enseignement:Formation continue [MeSH] Évaluation des pratiques médicales par des pairs [MeSH] Mesure de la douleur [MeSH] Sujet âgé [MeSH] Techniques analytiques, diagnostiques, thérapeutiques et équipements:Thérapeutique:Gestion de la douleur Résumé : Contexte : La prise en charge antalgique du sujet âgé se heurte à de nombreuses difficultés du fait d’une atypie de l’expression douloureuse, de la complexité de son évaluation en présence de troubles neurocognitifs et de la crainte des effets secondaires des antalgiques. Matériels et méthodes : L’objectif de ce travail était d’évaluer si une sensibilisation au dépistage et à la prise en charge de la douleur avait un impact positif sur la prise en charge de celle-ci dans les unités de gériatrie aiguë. Les données ont été recueillies avant et après la sensibilisation au dépistage et à la prise en charge de la douleur, puis comparées selon le modèle d’une évaluation des pratiques professionnelles. Résultats : Avant la sensibilisation, l’instauration de traitements antalgiques était réalisée dans 44,9 % des cas, après elle était effectuée chez 66,2 % des patients. En parallèle, les délais d’adaptation thérapeutique étaient plus courts après la sensibilisation, où dans 91,8 % des cas elle était réalisée dans les 24 heures, alors qu’avant la sensibilisation elle était effectuée audelà des 24 heures dans 67,7 % des cas (p = 0,017). Conclusion : Nous avons mis en évidence une amélioration de la prise en charge antalgique, notamment avec une instauration plus fréquente et plus rapide de thérapeutique en présence de douleurs Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=124485 [article]

Poser un regard critique sur sa pratique : démystifier l’inspection professionnelle / Nathalie Grandoit in Perspective infirmière, Vol. 17, n°2 (mars - avril 2020)

Public [article]  inPerspective infirmière > Vol. 17, n°2 (mars - avril 2020) . - p. 22-24 Titre : Poser un regard critique sur sa pratique : démystifier l’inspection professionnelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Grandoit, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 22-24 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Évaluation des pratiques médicales par des pairs [MeSH] Québec [MeSH] Soins infirmiers Résumé : Sylvie Charlebois dirige les activités liées à l’inspection professionnelle à l’OIIQ. Elle s’exprime avec assurance, vivacité et conviction. La refonte complète des mécanismes d’inspection professionnelle est l’un des projets phares au coeur de la mission de l’OIIQ. Elle y travaille depuis 2017, guidée par une réflexion sur le processus qui a mené à deux constats.D’abord, certains membres démontraient une méconnaissance de la mission de l’OIIQ, de leurs obligations professionnelles et de leur champ d’exercice, surtout en raison de la méthode d’inspection utilisée, soit les inspections de groupe. Ce type d’inspection ne permettait pas d’engager suffisamment la responsabilité des membres. Ensuite, les façons de procéder manquaient d’efficience, car le processus n’était pas automatisé. De nouvelles orientations ont donc été développées et les membres feront maintenant l’objet d’une inspection de façon individuelle. Le plus grand défi de Sylvie Charlebois? Expliquer aux infirmières et infirmiers qu’elle n’est pas là pour leur taper sur les doigts! Après être allée à la rencontre des directions de soins infirmiers aux quatre coins du Québec pour leur expliquer les changements à venir et avoir animé un atelier qui a fait salle comble lors du dernier congrès de l’OIIQ, elle démystifie pour nous l’inspection professionnelle. Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=114489 [article]