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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externesHypothèses physiopathologiques et diagnostic du trouble insomnie / Jean-Arthur Micoulaud-Franchi in La revue du praticien, Vol. 74, n°3 (mars 2024)
Titre : Hypothèses physiopathologiques et diagnostic du trouble insomnie : tenir compte des mécanismes, du ressenti et des comorbidités Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Arthur Micoulaud-Franchi ; Julien Coelho ; Léa Boileau ; Clélia Quiles ; Pierre-Alexis Geoffroy Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 275-280 Note générale : Fait partie du dossier : "Insomnie" Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Insomnie
[MeSH] Insomnie chronique
[MeSH] Maladies:Maladies du système nerveux:Troubles du sommeil
[MeSH] Signes et symptômes
[MeSH] Sommeil
[MeSH] Techniques analytiques, diagnostiques, thérapeutiques et équipements:DiagnosticMots-clés : hyperéveil Résumé : L’ensemble des modèles physiopathologiques place l’hyperéveil comme processus central dans les mécanismes de l’insomnie.
Les modèles se différencient cependant au regard de l’importance et du rôle des variables expliquant cet hyperéveil. Les modèles comportementaux et cognitifs décrivent les comportements d’autoentretien et les pensées dysfonctionnelles, de types soucis et inquiétudes concernant le sommeil et les conséquences de l’insomnie. Des altérations des processus cognitifs en lien avec l’hyperéveil dans les domaines perceptuels et mnésiques peuvent expliquer ces comportements et pensées. Les modèles neurobiologiques retrouvent une instabilité de la balance éveil/sommeil avec une possible implication de l’orexine, qui reste à confirmer. Le diagnostic de l’insomnie doit tenir compte de la sémiologie en lien avec ses mécanismes, tout en tenant compte des comorbidités.Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=133205
in La revue du praticien > Vol. 74, n°3 (mars 2024) . - p. 275-280[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001668 P24003PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible
Titre : Insomnie et horloge biologique : influence des rythmes circadiens Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Françoise Vecchierini ; Alexandre Rouen ; Damien Léger ; Victor Pitron Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 260-265 Note générale : Fait partie du dossier : "Insomnie" Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Horloges biologiques
[MeSH] Horloges circadiennes
[MeSH] Insomnie
[MeSH] Insomnie chronique
[MeSH] Maladies:Maladies du système nerveux:Troubles du sommeil
[MeSH] SommeilRésumé : De multiples rythmes physiologiques et biologiques dits «circadiens» sont influencés par l’horloge biologique qui les contrôle au sein des noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus. Mais le rythme circadien le plus emblématique est celui du sommeil et de l’éveil. Il est donc indispensable de vérifier comment l’horloge biologique peut être impliquée dans une insomnie chronique: quelle est son influence sur les horaires et la qualité du sommeil? Quels sont les troubles caractéristiques de l’horloge biologique expliquant l’insomnie des adolescents, des travailleurs postés et de nuit, des personnes âgées et des non-voyants? Quels outils conseiller en médecine générale et spécialisée pour évaluer l’horloge biologique face à une insomnie? Quelle influence, enfin, de la lumière sur l’horloge biologique et quels conseils donner vis-à-vis de la lumière? Autant de questions et d’éléments de compréhension sur l’insomnie chronique éclaircis. Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=133181
in La revue du praticien > Vol. 74, n°3 (mars 2024) . - p. 260-265[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001668 P24003PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible
Titre : Insomnie et troubles psychiatriques : facteur de risque et signe précoce Type de document : texte imprimé Auteurs : Julia Maruani ; Pierre A. Geoffroy Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 285-289 Note générale : Fait partie du dossier : "Insomnie" Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Disciplines et professions:Professions de santé:Médecine:Psychiatrie
[MeSH] Insomnie
[MeSH] Insomnie chronique
[MeSH] Maladies:Maladies du système nerveux:Troubles du sommeil
[MeSH] Signes et symptômes
[MeSH] Sommeil
[MeSH] Techniques analytiques, diagnostiques, thérapeutiques et équipements:Diagnostic
[MeSH] Troubles psychotiquesRésumé : L'insomnie est un trouble fréquent au cours des pathologies psychiatriques. En particulier, elle peut constituer un facteur de risque, ainsi qu'une condition comorbide, ou un symptôme et un signe précoce de troubles psychiatriques. Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=133207
in La revue du praticien > Vol. 74, n°3 (mars 2024) . - p. 285-289[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001668 P24003PRA Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible
Titre : Les médicaments de l'insomnie Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle POIROT ; Jean-Arthur Micoulaud-Franchi Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-46 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Actualités du trouble insomnie ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Insomnie
[MeSH] Sommeil
[MeSH] Traitement médicamenteuxMots-clés : Pharmacopsychologie Résumé : Parfois mal considérés, les médicaments hypnotiques ont leur place dans la prise en charge du trouble insomnie, associés au traitement de première intention, les thérapies comportementales et cognitives (TCC). Mode d’action et règles pour une prescription éclairée et adaptée.
L’insomnie touche presque 20 % de la population, et 10 % en moyenne présentent des formes sévères. Les impacts de ce trouble sont loin d’être anodins (risques cardiovasculaires, cognitifs et en santé mentale). Même si les preuves scientifiques sont encore fragiles, les consensus états-uniens, européens et français recommandent son traitement, en première intention via les thérapies cognitivo-comportementales de l’insomnie (TCC-I) mais ils insistent également sur le rôle important des hypnotiques, notamment lorsque ces thérapies ne sont pas efficaces ou inaccessibles.
Actuellement, selon les données de la Haute Autorité de santé (HAS) et de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), environ 15 % de la population générale utilisent des traitements hypnotiques, ce qui place la France au deuxième rang européen pour les anxiolytiques et les hypnotiques. [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135489
in Santé mentale > 290 (septembre 2024) . - p. 40-46[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001492 P24290SM Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible
Titre : La plainte d'insomnie en psychiatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle POIROT Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-33 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Actualités du trouble insomnie ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Disciplines et professions:Professions de santé:Médecine:Psychiatrie
[MeSH] Insomnie
[MeSH] SommeilRésumé : La plainte d’insomnie semble banale. Quel soignant ne l’a pas déjà entendu, lui conférant aussitôt un caractère normal, explicable, sans y prêter la moindre attention. Depuis plus de 40 ans, le combat est rude pour permettre une prise en soin de qualité, bâtie sur une démarche médicale et des traitements validés dont l’efficacité n’est plus à démontrer. En 2007, la Haute autorité de santé (HAS) a élaboré des recommandations pour la prise en charge de l’insomnie chronique en médecine générale, hélas manifestement non appliquées. Cette non-considération concerne l’ensemble des soignants… et pourtant, presque 20 % de la population générale est touchée par l’insomnie chronique (proportion variable selon la définition), dont 10 % présente des insomnies sévères. En santé mentale, les statistiques explosent, avec plus de 50 % de personnes concernées.
La plainte d’insomnie a longtemps été considérée comme un simple symptôme de pathologies psychiatriques ou somatiques. Sa prise en soins se résumait à une approche médicamenteuse ou psychothérapeutique, sa persistance étant déjà considérée comme un facteur pronostic négatif. Les études ont cependant montré que l’atteinte du sommeil n’était pas sans conséquences. Outre les dysfonctionnements diurnes liés directement à la plainte nocturne, comme la fatigue, la somnolence, les troubles de concentration et de la mémoire, et leurs impacts sur qualité de vie (sociale, familiale, professionnelle), la recherche a mis en évidence des conséquences cardio-vasculaires , de véritables facteurs de risque d’apparition de la maladie mentale, d’aggravation ou de rechute, de potentiels risques suicidaires … sans compter des questions sur le lien entre insomnie et troubles neurodégénératifs.Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135487
in Santé mentale > 290 (septembre 2024) . - p. 26-33[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001492 P24290SM Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink
