Déprescrire ? |
Dépouillements


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Titre : Autisme : entraîner la cognition sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : Muriel Delage ; Léa Martin Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-19 Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Trouble du spectre autistique Résumé : Nathan, 23 ans, est porteur d’un trouble du spectre de l’autisme. Très anxieux, rigide, il ne sort quasiment plus du domicile parental. Le programme d’entraînement aux habiletés sociales Blablacare lui permet d’améliorer ses compétences sociales tout en comprenant son fonctionnement lors de situations d’interactions.
Créé en 2020 au sein du Pôle addictologie-psychiatrie du CHRU de Tours, Se rétablir 37 est un centre de support régional en réhabilitation psychosociale (RPS) labellisé par l’Agence régionale de santé (ARS) Centre-Val-de-Loire. Ce dispositif de proximité propose différents types de soins orientés rétablissement. Dans ce contexte, l’équipe Emergence accompagne les adolescents de plus de 16 ans et les adultes présentant un trouble du spectre de l’autisme (TSA), pour les aider à gagner en autonomie dans leur quotidien et à construire des projets. Cette équipe pluridisciplinaire (psychiatre, infirmière spécialisée en remédiation cognitive, neuropsychologue et ergothérapeute), exerce en lien avec le Centre ressources autisme (CRA) de la région. [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135810
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 15-19[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001731 P24291SAN Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible La déprescription des psychotropes, un vrai sujet ! / Fabrice Berna in Santé mentale, 291 (octobre 2024)
[article]
Titre : La déprescription des psychotropes, un vrai sujet ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Berna ; Patrice Queneau Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 22-28 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Déprescriptions
[MeSH] Psychotropes
[MeSH] Traitement médicamenteuxRésumé : En instaurant un traitement, tout prescripteur doit d'emblée se poser la question de sa réduction ou de son arrêt. En France, le sujet de la déprescription suscite un intérêt néanmoins bien tardif. Enjeux et pistes pour se mettre en mouvement…
L’intérêt relativement récent de la psychiatrie pour la déprescription interroge. Le sujet aurait dû s’imposer dès les premiers essais de prescription des psychotropes et la question qu’on peut donc se poser concerne davantage la dimension tardive de cette préoccupation.
Pour reprendre une image utilisée par le psychiatre Mark Horowitz, un des chefs de file de la déprescription, lors de l’apprentissage de la conduite automobile, on nous a tous expliqué en même temps comment nous servir de l’accélérateur et de la pédale de frein. Lorsqu’on apprend le maniement des psychotropes aux médecins, cette règle de bon sens semble mise de côté, du moins, la question des modalités de réduction puis d’arrêt des médicaments fait l’objet d’un certain désintérêt. Ceci n’est pas propre aux psychotropes mais concerne la plupart des médicaments, en particulier ceux prescrits pour des maladies chroniques. Avant de proposer quelques éléments de réponse, nous allons clarifier les concepts et examiner les raisons qui font de la déprescription des psychotropes un sujet d’actualité. [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135811
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 22-28[article]Exemplaires (1)
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[article]
Titre : Pratiques inspirantes pour la déprescription Type de document : texte imprimé Auteurs : Maeva Musso Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 30-35 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Déprescriptions
[MeSH] Disciplines et professions:Professions de santé:Médecine:Psychiatrie
[MeSH] Psychotropes
[MeSH] SevrageRésumé : Pourquoi les difficultés majeures liées au sevrage des psychotropes n'ont-elles pas suscité plus tôt un intérêt pour la déprescription ? Exemples européens et repères pour changer de regard en psychiatrie…
Au cours de mon internat en psychiatrie, j’ai rencontré de nombreuses personnes vivant avec un trouble psychique qui souhaitaient arrêter leur traitement médicamenteux (ou l’avaient arrêté) sans accompagnement médical. À la question de savoir pourquoi elles ne s’adressaient pas à leur médecin, les réponses étaient variées. Certains usagers avaient déjà essayé et essuyé un refus, d’autres ne voulaient pas « inquiéter leur entourage », d’autres encore redoutaient que leur demande soit interprétée comme un déni de leurs troubles, avec le risque de voir ressurgir des soins sous contrainte.
En débutant la rédaction de cet article, j’ai contacté Giovanni, un ami de longue date. Suivi en psychiatrie depuis 15 ans, il a changé six fois de neuroleptiques et a été hospitalisé deux fois en réanimation suite à un syndrome malin des neuroleptiques (1, 2). Il souffre encore aujourd’hui des effets indésirables de ces molécules: tremblements, prise de poids massive, troubles de la concentration et de la mémoire, asthénie importante. Giovanni a été le premier à me parler d’Open dialogue (3, 4), une approche qui permet entre autres de réduire l’initiation et la consommation de neuroleptiques en psychiatrie (5).
À travers la littérature scientifique sur la déprescription, j’ai découvert que de nombreuses personnes concernées par les troubles psychiques à travers le monde s’organisaient en réseaux d’entraide pour le sevrage des psychotropes (6). J’ai également réalisé qu’il manquait un pan considérable à ma formation : j’avais appris à prescrire mais pas à déprescrire ! [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135812
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 30-35[article]Exemplaires (1)
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Titre : Promouvoir la décision médicale partagée Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard PACHOUD Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 36-40 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Déprescriptions
[MeSH] Prise de décision
[MeSH] Traitement médicamenteuxRésumé : Le modèle de la décision médicale partagée (DMP) reste encore méconnu et peu mis en œuvre en psychiatrie. Ce processus modifie le mode de choix et d'ajustement du traitement médicamenteux et, plus largement, les objectifs de la consultation et la fonction médicale, appelée à soutenir la quête de chaque patient sur la façon de vivre avec une maladie chronique.
La décision médicale partagée (DMP) est une pratique de soin au cours de laquelle les décisions thérapeutiques, en particulier les choix de médicaments et de leur posologie, ne sont plus assurées seulement par le médecin, mais conjointement avec le patient. Cela suppose que ce dernier ait été informé des raisons de recourir à un traitement et des options thérapeutiques possibles avec leurs avantages et inconvénients. La prescription résulte alors d’une délibération entre les deux protagonistes, et tient compte des préférences du patient, de ses priorités, de ses valeurs, mais aussi des arguments du médecin. [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135813
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 36-40[article]Exemplaires (1)
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[article]
Titre : Déprescription en CMP... Type de document : texte imprimé Auteurs : Geneviève Hénault Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 42-47 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Déprescriptions
[MeSH] Disciplines et professions:Professions de santé:Médecine:PsychiatrieMots-clés : Responsabilité médicale Résumé : La question de la déprescription se situe au carrefour de multiples contraintes. Dans le contexte actuel de la psychiatrie publique, comment accompagner des patients vers la décroissance médicamenteuse, alors que cette démarche nécessite un cadre solide et sécurisant ?
Depuis peu, on entend parler de «déprescription» en psychiatrie alors que d’autres spécialités, comme la gériatrie et la médecine générale, se sont saisies de cette problématique plus tôt (voir aussi l’article de F. Berna et P. Queneau, « La déprescription des psychotropes, un vrai sujet ! »). Jusqu’alors, on se préoccupait beaucoup du sevrage des benzodiazépines et, dans une moindre mesure, de celui des antidépresseurs. Pendant longtemps, on a considéré qu’une fois un traitement antipsychotique « de fond » mis en place, c’était plus ou moins à vie. Le but essentiel était d’éviter la rechute, et ce, dès le premier épisode délirant ou maniaque, quitte à accepter (et faire accepter aux patients) des effets indésirables importants, dont certains constituent à eux-mêmes des facteurs de handicap. Aujourd’hui, le concept de déprescription émerge dans notre discipline et des travaux universitaires sont publiés, tout particulièrement sur la question de la déprescription des antipsychotiques (1).
Cet essor de l’intérêt pour la décroissance, voire l’arrêt des antipsychotiques, procède certainement de plusieurs mécanismes convergents :
– l’élargissement massif du cadre de prescription des traitements antipsychotiques auparavant réservés aux pathologies les plus sévères (2) ;
– la parole des patients concernés qui s’affirme davantage notamment via le portage du concept de rétablissement. Ce mouvement s’assortit d’une remise en cause du pouvoir de contrainte aux soins (3) ;
– la prise de conscience des effets indésirables graves de ces traitements pris au long cours qui réduisent l’espérance de vie par la forte majoration des facteurs de risque métaboliques et cardiovasculaires (4).
À partir de quelques situations cliniques, nous aborderons ici les intérêts et les freins de la déprescription en pratique quotidienne en Centre médico-psychologique (CMP). [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135814
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 42-47[article]Exemplaires (1)
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Titre : Le collectif soignant et le médicament Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Hardy ; Didier Penverne Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 48-52 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Déprescriptions
[MeSH] Effets secondaires indésirables des médicaments
[MeSH] Traitement médicamenteuxMots-clés : Circuit du médicament Résumé : Une unité hospitalière a mis en place une démarche collective pour aller vers une prescription la plus adaptée au contexte et au projet de vie et de soin du patient. Le pharmacien reste un acteur clé de cette stratégie qui vise un usage plus mesuré et plus sobre du médicament.
Si les médicaments peuvent améliorer la santé, ils sont aussi parfois nocifs. Il est donc essentiel d’évaluer finement leurs bénéfices et leurs risques (1).
En psychiatrie, l’utilisation des neuroleptiques, appelés aussi antipsychotiques, permet de réduire les désordres de la pensée ou d’améliorer le contact avec la réalité en diminuant les idées délirantes et les hallucinations (2). Toutefois, ils exposent les patients à de nombreux effets indésirables parfois gênants, en particulier : neurologiques, de type tremblements, impatiences, mouvements anormaux parfois irréversibles (dyskinésies tardives) ; métaboliques, comme une prise de poids parfois de plusieurs dizaines de kilos ; mais aussi troubles sexuels, cardiaques, digestifs, endocriniens… Dès lors, malgré leurs bénéfices pour réduire l’intensité des symptômes, leur caractère intrusif ou leur impact émotionnel, certains patients se plaignent d’un ralentissement psychomoteur, d’un émoussement affectif, d’un manque d’envie (3). Difficile dans ce contexte de distinguer ce qui est du ressort de l’effet du médicament neuroleptique ou de l’affection psychiatrique.
L’association de plusieurs médicaments est par ailleurs susceptible de majorer la fréquence et l’intensité des effets indésirables : on observe par exemple une augmentation de la somnolence diurne et une baisse de la concentration quand plusieurs sédatifs sont utilisés en même temps. [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135815
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 48-52[article]Exemplaires (1)
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Titre : Déployer la pharmacie clinique en psychiatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Tonya Tartour ; Delphine Moreau ; Étienne Nouguez ; Camille Lancevelée Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 54-59 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Catégories : [MeSH] Disciplines et professions:Professions de santé:Médecine:Psychiatrie
[MeSH] Traitement médicamenteuxMots-clés : Conciliation médicamenteuse Coordination des soins Résumé : La pharmacie clinique se traduit par la mise en place d'un « panier d'activités » qui varie selon les établissements : conciliation médicamenteuse, analyse avancée d'ordonnances, historiques médicamenteux ou encore éducation thérapeutique du patient (ETP). Focus sur les enjeux en psychiatrie.
En psychiatrie, la prescription médicamenteuse, acte central des soins, soulève de nombreux enjeux. Les patients souffrant de troubles psychiques, en particulier ceux atteints de troubles sévères ou au long cours, se voient souvent prescrire plusieurs médicaments : neuroleptiques, anxiolytiques, antidépresseurs ou encore hypnotiques. Ces psychotropes peuvent entraîner des effets secondaires somatiques indésirables. Certains, peu graves, restent temporaires (les symptômes cessent en général lorsque le traitement en cause est arrêté), mais peuvent néanmoins causer des désagréments importants aux patients qui en font l’expérience. Les psychotropes peuvent aussi induire des troubles somatiques plus sévères, avec des répercussions au long cours : complications cardiovasculaires, métaboliques ou effets neurologiques importants. Les patients. Les patients suivis en psychiatrie ont d’ailleurs une espérance de vie réduite, en moyenne de 13 ans pour les femmes et de 16 ans pour les hommes (Coldefy et Gandré, 2018). Cette réduction est souvent attribuée à leurs conditions et modes de vie, leur isolement et autostigmatisation. Il a toutefois été mis en évidence qu’elle était aussi due aux effets secondaires des traitements, ainsi qu’à la moindre attention donnée à leur santé physique, aux obstacles rencontrés dans leurs parcours de soin et à une stigmatisation persistante (Gandré et al., 2022).
Dans ce contexte de complexité thérapeutique et organisationnelle, le développement de la pharmacie clinique en psychiatrie apparaît comme une piste d’amélioration de la sécurité et de la pertinence des prescriptions. Selon la Société française de pharmacie clinique (1), cette pratique est définie comme une « discipline de santé centrée sur le patient dont l’exercice a pour objectif d’optimiser la thérapeutique à chaque étape du parcours de soins ». [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135816
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 54-59[article]Exemplaires (1)
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Titre : "Pas de renouvellement sans consultation" Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamin Dujardin Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 60-64 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Coordination des soins Résumé : À l’EPSM Lille métropole, une nouvelle organisation autour de la prescription de clozapine a été mise en place, coordonnée par un infirmier en pratique avancée (IPA). Ce professionnel rencontre des patients qui n'ont pas eu contact direct avec les soins depuis des mois voire des années…
La prescription fait partie des nouvelles activités auxquelles je me suis formé avec intérêt lors de mon Diplôme d’État d’infirmier en pratique avancée (grade master), spécialité santé mentale et psychiatrie (IPA-PSM). Elle concerne, dans mon champ d’intervention, les médicaments autorisés en accès direct, certains dispositifs médicaux et l’adaptation et le renouvellement de certaines prescriptions médicales.
Fort de nouvelles connaissances théoriques en pharmacologie, « percuté » par des débats convaincants en congrès (1), les pistes incitatrices de la recherche britannique Radar (2), des échanges féconds lors d’un webinaire (3), je me suis embarqué dans ce nouvel univers, avec l’Evidence Based Medecine (EBM) comme boussole. Pas à pas, je me suis approprié ce nouveau champ avec humilité et prudence. La pratique régulière a construit une expérience nouvelle et alimenté mon sentiment d’efficacité (4) personnelle sur ce sujet. Une évolution donc progressive et nuancée, éloignée de l’effet Dunning-Kruger (5) (ou effet de sur-confiance en soi), biais cognitif que des détracteurs brandissent régulièrement à l’égard de notre jeune profession.
À l’issue de deux ans de formation, il reste au jeune diplômé à (re)prendre une place, souvent au sein du secteur dans lequel il était infirmier. Nombre de recommandations ou d’articles évoquent désormais ces retours et la nécessité d’anticiper les nouvelles missions à assumer (6). Souvent, une réflexion est initiée en amont avec la direction des soins, le chef de pôle et l’encadrement. En ce qui me concerne, ma fiche de poste prévoit 0,8 ETP en activité clinique et 0,2 ETP en missions transversales. [...]Cycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=135817
in Santé mentale > 291 (octobre 2024) . - p. 60-64[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PSI001731 P24291SAN Périodique SI Galiléo Périodiques Disponible
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