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Développement d?un programme de prévention du risque de chute adapté à la pratique des professionnels de première ligne / Catherine SASS in La revue de gériatrie, T. 41, n° 1 (Janvier 2016)
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Titre : Développement d?un programme de prévention du risque de chute adapté à la pratique des professionnels de première ligne Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Catherine SASS, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.33-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chutes accidentelles / prévention et contrôle Sujet âgé Gestion du risque Personnes dépendantes à domicile Soins infirmiers à domicile Diagnostic précoce Résumé : Objectif : Développer un programme de prévention du risque de chute pour les personnes âgées vivant à domicile, impliquant un partenariat interinstitutionnel.
Matériels et Méthodes : La démarche repose sur trois études distinctes : une étude de cohorte prospective multicentrique
permettant d?identifier les facteurs associés aux chutes et de construire un outil de repérage du risque de chute et deux études de faisabilité (CES - milieu mé-dical - et Carsat - milieu non médical -).Résultats : Pour la construction de l?outil, 1 790 personnes âgées de 65 ans et plus ont été suivies pendant 12 mois. Les facteurs associés aux chutes étaient : être une femme (RR = 1,65 [1,35 - 2,03]), vivre seule (RR = 1,55 [0,98 - 2,45]), avoir de l?arthrose (RR = 1,25 [1,02 - 1,53]), consommer des psychotropes (RR = 1,24 [1,54 - 1,70]), écarter les bras au cours des 5 premières secondes lors de l?appui unipodal (RR = 1,31 [1,09 -1,56]) et déclarer des antécédents de chutes (3 chutes et plus : RR = 4,42 [3,13 - 6,24]). Sur la base de ces paramètres
nous avons construit un score prédictif du risque de chute variant de 0 à 12, ayant des performances métrologiques évaluées (ASC = 0,70). Dans les CES, 93 %des utilisateurs estimaient que « tout professionnel de santé formé peut utiliser le SRC-CES ». Ils étaient unanimes à considérer que « le SRC-CES peut être utilisé hors du CES par les médecins libéraux » dans leur pratique quotidienne. Ils estimaient à 59,2 % que le temps de passation du SRC-CES était compris entre 0 et 5 minutes.
Quant aux évaluateurs des Carsat, ils estimaient à 88 % que « le SRC-CES peut être utilisé par les évaluateurs et les assistantes sociales au domicile des personnes âgées ».
Conclusion : Le SRC-CES est un outil de repérage (« screening ») du risque de chute validé, peu consommateur de temps et pouvant être utilisé par les professionnels du corps médical et les travailleurs sociaux. Le programme développé ouvre la voie à un parcours prévention des chutes pour les personnes âgées vivant à domicile.En ligne : http://bib.erasme.helb.be/period/articles/rege/2016-1-developpement.pdf Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=99517
in La revue de gériatrie > T. 41, n° 1 (Janvier 2016) . - p.33-44[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité psi000761 P16001GER Périodique SI Galiléo Périodiques Exclu du prêt De la relation ? l’alliance thérapeutique auprès d’adolescents et jeunes adultes présentant un risque de transition psychotique : le point de vue de professionnels de santé mentale. Une étude exploratoire in Recherche en soins infirmiers, 145 (juin 2021)
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Titre : De la relation ? l’alliance thérapeutique auprès d’adolescents et jeunes adultes présentant un risque de transition psychotique : le point de vue de professionnels de santé mentale. Une étude exploratoire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 122-131 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent Alliance thérapeutique Diagnostic précoce Jeune adulte (19-24 ans) Troubles psychotiques Résumé : Introduction : les troubles psychotiques débutent généralement entre l’adolescence et le début de la vie adulte. Dans leur phase prodromique, les premiers symptômes sont dits atténués. Il est essentiel de les repérer et d’initier un suivi le plus précocement possible pour limiter la sévérité des symptômes. Il reste néanmoins une incertitude sur leur évolution. L’objectif de cette étude exploratoire a été de montrer les difficultés qui entourent la construction de l’alliance thérapeutique dans ce contexte.
Méthodologie : la méthode retenue a été celle de l’enquête de terrain.
Résultats : l’incertitude sur l’évolution des troubles et leur aggravation, et le fait que ces derniers sont évalués par une appréciation des fléchissements fonctionnels amènent les professionnels à développer un relationnel basé sur un savoir acquis empiriquement et qui s’inscrit dans une approche phénoménologique. Ainsi, les professionnels mobilisent des techniques de communication dynamiques et interactives pour essayer de développer une alliance thérapeutique.
Conclusion : il a été montré que l’alliance thérapeutique avec les jeunes présentant une incertitude d’évolution vers une psychose cherchait à être construite sur une logique phénoménologique, personnalisée et pragmatiqueCycle : Généralités Permalink : http://www.galileonet.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=120619
in Recherche en soins infirmiers > 145 (juin 2021) . - p. 122-131[article]